L’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient de relever le degré de risque concernant les thromboses profondes comme vous pouvez le voir au lien suivant (au-dessus de 1 pour 1000 personnes utilisatrices). Ainsi, malgré un titre qui se veut rassurant, on découvre que le degré de risque a été multiplié par 3, en contradiction avec les chiffres annoncés jusque là par l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM).

La preuve que la « médecine par les preuves » ne fonctionne pas et que dans le doute, seule compte la parole des victimes. De toute façon, l'AVEP l'a prouvé et les autorités sanitaires le savent bien, ces autorités sont incapables de dresser la liste de tous les accidents et bien évidemment de tous les décès dont la cause est la pilule et c'est bien là tout le drame.

Enfin, cette question : un accident pour mille femmes très jeunes pour la plupart et en bonne santé, accident causé par un produit dont la fonction n'est pas de soigner, peut-on le qualifier de rare ?